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Historique des 2e et 3e divisions légères mécaniques qui constituaient le corps de cavalerie du général Prioux, engagé entre Hannut et Gembloux entre le 10 et le 15 mai 1940, contre le XVI. Armee-Korps (mot.) du General Hoepner (3. et 4. Panzer-Divisionen).
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Date de disponibilité: 06/11/2017
Les 2e et 3e divisions légères mécaniques – Tome I
Historique des 2e et 3e divisions légères mécaniques qui constituaient le corps de cavalerie du général Prioux, engagé entre Hannut et Gembloux entre le 10 et le 15 mai 1940, contre le XVI. Armee-Korps (mot.) du General Hoepner (3. et 4. Panzer-Divisionen).
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Auteur | Érik Barbanson |
ISBN | 978-2-9558385-1-8 |
Date de parution | Novembre 2017 |
Format | 215 x 305 mm |
Pagination | 188 pages |
Façonnage | Relié, couverture cartonnée |
Poids | 1,2 kg |
Langue | Français |
Divers | 460 photos dont la plupart inédites – 26 cartes – 10 profils couleurs |
Éditeur | Arès - Toul |
Le 10 mai 1940, après plusieurs mois d’attente, l’armée allemande envahit la Hollande, la Belgique et le Luxembourg. Vingt ans après le dernier conflit mondial, les armées françaises et allemandes vont à nouveau s’affronter.
Depuis l’arrivée d’Hitler au pouvoir, l’armée française se prépare à ce moment, tout comme son adversaire, en mettant au point une série de matériels modernes entrant dans la composition de divisions blindées. Ainsi, la division légère mécanique est sensiblement équivalente au fer de lance allemand, la Panzer-Division.
Si l’arme blindée a fait son apparition à la fin du dernier conflit, il n’y a pas encore eu d’engagement de grande envergure char contre char. La campagne de mai-juin 1940 va être le témoin de la première bataille de chars de l’histoire. Celle-ci s’est déroulée dans les plaines belges du Hesbaye du 12 au 14 mai, entre les unités entièrement motorisées du XVI. Armee-Korps (mot.) du General Hoepner (3. et 4. Panzer-Divisionen) et celles du corps de cavalerie Prioux, constitué principalement des 2e et 3e divisions légères mécaniques, confirmant l’avènement de l’arme blindée comme élément fondamental de la guerre moderne.
Durant cette bataille plus de 1 300 chars et automitrailleuses et 50 000 hommes vont se retrouver face-à-face, soit le sixième des forces blindées de deux belligérants. Par les moyens mis en œuvre, cette bataille n’aura pas d’autre équivalent durant le reste de la campagne de 1940. Pourtant cet épisode de la seconde Guerre Mondiale a été peu étudié. C’est ce travail de recherche mené depuis plus de 15 ans par l’auteur, que nous vous proposons de découvrir.
Les 2e et 3e DLM seront donc au centre de cette étude. Nous ne reviendrons pas sur la genèse de la division légère mécanique, afin d’entrer dans le vif du sujet, un peu avant la mobilisation. Les engagements de cette première bataille de chars sont détaillés autant que possible, avec les sources à notre disposition, nous permettant de mettre en vis-à-vis plusieurs témoignages français et allemands, nous offrant la vision des deux belligérants.
tant au point une série de matériels modernes entrant dans la composition de divisions blindées. Ainsi, la division légère mécanique est sensiblement équivalente au fer de lance allemand, la Panzer-Division.
Si l’arme blindée a fait son apparition à la fin du dernier conflit, il n’y a pas encore eu d’engagement de grande envergure char contre char. La campagne de mai-juin 1940 va être le témoin de la première bataille de chars de l’histoire. Celle-ci s’est déroulée dans les plaines belges du Hesbaye du 12 au 14 mai, entre les unités entièrement motorisées du XVI. Armee-Korps (mot.) du General Hoepner (3. et 4. Panzer-Divisionen) et celles du corps de cavalerie Prioux, constitué principalement des 2e et 3e divisions légères mécaniques, confirmant l’avènement de l’arme blindée comme élément fondamental de la guerre moderne.
Durant cette bataille plus de 1 300 chars et automitrailleuses et 50 000 hommes vont se retrouver face-à-face, soit le sixième des forces blindées de deux belligérants. Par les moyens mis en œuvre, cette bataille n’aura pas d’autre équivalent durant le reste de la campagne de 1940. Pourtant cet épisode de la seconde Guerre Mondiale a été peu étudié. C’est ce travail de recherche mené depuis plus de 15 ans par l’auteur, que nous vous proposons de découvrir.
Les 2e et 3e DLM seront donc au centre de cette étude. Nous ne reviendrons pas sur la genèse de la division légère mécanique, afin d’entrer dans le vif du sujet, un peu avant la mobilisation. Les engagements de cette première bataille de chars sont détaillés autant que possible, avec les sources à notre disposition, nous permettant de mettre en vis-à-vis plusieurs témoignages français et allemands, nous offrant la vision des deux belligérants.
magnifique
Excellent livre, très complet et détaillé au possible.
magnifique!
Très bien
Passionnant !
Monographies de qualité richement illustrées. Travail d'un auteur reconnu. Bonne première expérience.
Magnifique livre d'histoire militaire. Je recommande !
beau travail
Très bien .
une petite page d'histoire souvent emporter par la débâcle de mai-juin 40
très belle qualité d'impression
super, bon emballage et délai plus que respecté++++
Idem. Dommage que je n'ai pas été informé de la sortie imminente du Hackenberg, sinon je l'aurai commandé avec pour optimiser le coût du port (cher pour le service rendu).